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[vc_row][vc_column][vc_column_text]À moins que vous ne viviez dans un placard sous l’escalier, il ne vous aura pas échappé que Star Wars VII a finalement atteint nos écrans, 10 ans après la fin de l’Episode III. La stratégie marketing et virale de Disney, a achevé la transformation de cette icône de la pop-culture en une licence Hollywoodienne assumée. De quoi en dégoûter un grand nombre, exaspéré de retrouver BB-8 sur les paquets d’oranges à jus du Franprix du coin. Cet Episode VII, du fait des sentiments (injustement) mitigés à propos de la Prélogie, subit d’entrée une pression qui interdit le faux-pas. Si l’univers de Star Wars regorge de nombreuses inventions et détails dus à des artistes et techniciens légendaires (Ralph McQuarrie, John Williams, Ben Burtt ou plus récemment Ryan Church), Le Réveil de la Force se devait non seulement de les restituer fidèlement, mais aussi de les réinventer. Or comment réinventer un monument de la pop-culture? On peut enrichir des univers en créant des planètes, de nouvelles espèces, de nouveaux vaisseaux. Mais comment renouveler une cinématographie construite sur 40 ans dont les images habitent profondément les esprits ? 

Voilà. Vous vous êtes bien rempli la panse a coup de volailles et pommes sautées. De couleurs de rires et de bonne humeur. Alors maintenant que tout cela est passé, il ne me reste qu’à vous souhaiter une merveilleuse année 2016, remplie de succès, de bonheur et de bonne santé. J'en profite aussi pour vous annoncer ce qui me trotte dans la tête depuis plusieurs semaines. Le Laboscope c'est fini.